Intermédiaire : Pagayeurs et pagayeuses ayant une certaine expérience et des formations leur permettant d’intégrer dans leur pratique les éléments de sécurités reliés à l’activité. De manière générale, les pagayeurs et pagayeuses intermédiaires savent identifier les risques et les éviter.
Estuaire fluvial
Boucle de l’Île et des Navigateurs
- Régions touristiques :
- Chaudière-Appalaches
- Ville :
- Leclercville
Difficulté : Intermédiaire
Pagayez une boucle de 12 km sur l’estuaire fluvial du Saint-Laurent, entre Leclercville et Lotbinière. Ce parcours en milieu marin offre une immersion dans un habitat riche, où la faune reprend ses droits. Gardez l’œil ouvert pour le bar rayé, espèce emblématique en pleine réintroduction. Un itinéraire où nature, histoire et traditions se rencontrent au fil de l’eau.
Version imprimableFiche technique
Itinéraire
- Longueur de la section
- 12 km (boucle)
- Durée estimée
- 2 h à 4 h
- Période pagayable
- Mai à octobre
- Départ
-
Parc de l’île de Leclercville
8000 Rte Marie-Victorin, Leclercville, QC G0S 2K0
Parc des Navigateurs
- Arrivée
-
Parc de l’île de Leclercville
8000 Rte Marie-Victorin, Leclercville, QC G0S 2K0
Parc des Navigateurs
Navigation
- Type de milieu
-
Marin
Zone II
Types de milieux
Marin : L’environnement marin est constitué de tous les plans d’eau impactés par les marées. Sur le fleuve Saint-Laurent, les marées se font ressentir à partir de Trois-Rivières. Dans ce milieu, la température de l’eau peut être froide, et ce, même en plein été.
- Débit
- Minimum : N/A
- Maximum : N/A
- Brevets suggérés
-
- Kayak de Mer 2
- Planche à pagaie Randonnée 3 (SUP Rando 1)
- Sécurité en Kayak de Mer
- Conditions environnementales
-
Météo
Météo Média -
Vent
Windy -
Marée
Gouvernement du Canada
- Les parcours intermédiaires peuvent être pagayé de manière sécuritaire par des vents modérés (≤ 19 nœuds ou 35km/h);
- Présence de vastes estrans à marée basse; planifiez votre sortie en conséquence;
- Soyez vigilant au trafic maritime dans l’estuaire fluvial et naviguer à l’extérieur de la voie navigable;
- Planifier votre sortie et votre point de départ afin de profiter du courant de marée.
- Services d'urgence
-
911
- Couverture cellulaire
-
Acceptable
Informations complémentaires
Préparer ma sortie
Avant de partir, assurez-vous d’avoir les compétences nécessaires et une bonne préparation. La Route bleue met à votre disposition des outils pratiques pour planifier votre itinéraire, choisir votre équipement et naviguer en toute sécurité.
Adoptez des comportements responsables pour minimiser votre impact sur l’environnement et favoriser une cohabitation harmonieuse avec les autres usagers.
Retrouvez tous les conseils essentiels pour une sortie réussie ici : Préparer ma sortie
Calcul de la durée d’un parcours
La durée d’un parcours dépend du niveau des pagayeurs et du type d’embarcation. Pour déterminer le temps estimé, nous divisons la distance du parcours par la vitesse moyenne du pagayeur, qui varie selon l’embarcation et son niveau d’habileté.
Il est important de prendre en compte plusieurs facteurs pouvant influencer la durée estimée du parcours. Ceux-ci incluent le courant, le débit, la marée, les conditions météorologiques, le nombre de rapides à négocier, les portages et leur difficulté, le nombre d’obstacle et la façon de les franchir, ainsi que des facteurs humains tels que les pauses, la fatigue ou des incidents.
Durée estimée par type d’embarcation pour ce parcours intermédiaire
- Canot : 2 h 30
- Kayak de mer : 2 h
- Kayak récréatif : 4 h
- SUP : 3 h
Préparer ma sortie
Avant de partir, assurez-vous d’avoir les compétences nécessaires et une bonne préparation. La Route bleue met à votre disposition des outils pratiques pour planifier votre itinéraire, choisir votre équipement et naviguer en toute sécurité.
Adoptez des comportements responsables pour minimiser votre impact sur l’environnement et favoriser une cohabitation harmonieuse avec les autres usagers.
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Calcul de la durée d’un parcours
La durée d’un parcours dépend du niveau des pagayeurs et du type d’embarcation. Pour déterminer le temps estimé, nous divisons la distance du parcours par la vitesse moyenne du pagayeur, qui varie selon l’embarcation et son niveau d’habileté.
Il est important de prendre en compte plusieurs facteurs pouvant influencer la durée estimée du parcours. Ceux-ci incluent le courant, le débit, la marée, les conditions météorologiques, le nombre de rapides à négocier, les portages et leur difficulté, le nombre d’obstacle et la façon de les franchir, ainsi que des facteurs humains tels que les pauses, la fatigue ou des incidents.
Durée estimée par type d’embarcation pour ce parcours intermédiaire
- Canot : 2 h 30
- Kayak de mer : 2 h
- Kayak récréatif : 4 h
- SUP : 3 h
Pratique en club
Vous êtes à la recherche d’activités de pagaie structurées ? Faites partie d’un club ! En devenant membre d’un club, vous pouvez participer à leurs sorties organisées sur les plans d’eau du Québec et également obtenir certaines réductions sur les formations offertes en collaboration par Canot Kayak Québec et Eau Vive Québec.
Découvrez les clubs membres de Canot Kayak Québec.
Découvrez les clubs membres de Eau Vive Québec.
Pratique en club
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Centre de formation
Envie de perfectionner votre technique sur l’eau ou de changer de niveau? Canot Kayak Québec et Eau vive Québec propose une variété de formations pour tous les niveaux. N’hésitez pas à jeter un coup d’œil et à vous inscrire pour acquérir de nouvelles connaissances.
Canot, kayak, Rabaska : https://canot-kayak.qc.ca/trouver-une-formation/
Kayak d’eau vive, planche à pagaie : https://www.eauvivequebec.ca/formation
Centre de formation
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Canot, kayak, Rabaska : https://canot-kayak.qc.ca/trouver-une-formation/
Kayak d’eau vive, planche à pagaie : https://www.eauvivequebec.ca/formation
Faune et flore
Le Bar Rayé
Disparu du fleuve Saint-Laurent vers la fin des années 1960, le bar rayé a fait l’objet d’une réintroduction depuis 2002. Les principales causes de sa disparition sont, d’une part, la perturbation d’habitats des individus immatures liée au développement de gros projets d’infrastructures, et d’autre part, la surpêche commerciale. Ainsi, de 2002 à 2019, plus de 34,6 millions de larves et plus de 30 000 bar rayés juvéniles et adultes ont été ensemencés dans le fleuve Saint-Laurent. Protégé par la réglementation au moment d’écrire ces lignes (en 2025), le bar rayé doit être remis à l’eau s’il est pêché accidentellement dans la région de la MRC de Lotbinière. Sa réintroduction est un succès et la population de bar rayé du fleuve Saint Laurent est actuellement en expansion.
Source : François Caron
Faune et flore
Le Bar Rayé
Disparu du fleuve Saint-Laurent vers la fin des années 1960, le bar rayé a fait l’objet d’une réintroduction depuis 2002. Les principales causes de sa disparition sont, d’une part, la perturbation d’habitats des individus immatures liée au développement de gros projets d’infrastructures, et d’autre part, la surpêche commerciale. Ainsi, de 2002 à 2019, plus de 34,6 millions de larves et plus de 30 000 bar rayés juvéniles et adultes ont été ensemencés dans le fleuve Saint-Laurent. Protégé par la réglementation au moment d’écrire ces lignes (en 2025), le bar rayé doit être remis à l’eau s’il est pêché accidentellement dans la région de la MRC de Lotbinière. Sa réintroduction est un succès et la population de bar rayé du fleuve Saint Laurent est actuellement en expansion.
Source : François Caron
Patrimonial
Les briqueteries
Communément appelées les « briquailles », ces fabriques étaient situées au pied de la falaise, côté Est, et comptaient trois installations. Employant une cinquantaine de personnes durant la saison estivale, elles pouvaient produire plus d’un million de briques de construction chaque année. Ces briques étaient ensuite chargées sur des charlands et expédiées vers les quais de Montréal, Québec, Lévis, et d’autres destinations. En 1880, une grande quantité fut livrée à Lévis pour la construction du fort N1. Cette industrie prospère utilisa la glaise extraite de la falaise pour fabriquer des briques entre 1857 et 1917, jusqu’à ce qu’un glissement de terrain emporte en partie les installations.
Source : Jean Beaudet
Pêche
Foi de pêcheur, l’embouchure d’un cours d’eau est un lieu privilégié pour la pêche. Des sites archéologiques autochtones, découverts sur les rives de la rivière du Chêne, attestent que cet adage était déjà connu il y a des centaines d’années. À une époque où l’accès aux lacs et rivières était limité, l’embouchure de la grande rivière du Chêne était un lieu de prédilection pour les pêcheurs du week-end. Les samedis et dimanches, des dizaines de voitures encombraient la vieille route numéro 3 (aujourd’hui la route 132) des deux côtés de la rivière. On y capturait principalement achigans, brochets et dorés, mais aussi perchaudes, barbus, barbottes et meuniers. La pêche de nuit à l’anguille, à la lumière d’un feu, était aussi courante. La pêche aux petits poissons des chenaux, en hiver, était très populaire à Leclercville, où plus de 50 cabanes s’installaient sur le fleuve autour de Noël. On pouvait facilement capturer entre 100 et 500 poissons lors de la marée montante. La période idéale de la saison se situait à la fin de décembre et au début de janvier, lorsque les poissons étaient les plus abondants, avant la fraie, et que leurs œufs offraient un mets prisé.
Source : Jean Beaudet
La navigation
Leclercville est reconnu comme un village de navigateurs, où la navigation était le principal moyen de transport pour les déplacements, les visites familiales et le commerce. Le village possédait non pas un, mais deux quais. Le quai du Seigneur Joly servait au transport du bois de sciage, chargé sur des charlands tirés par des remorqueurs et livré aux quais des villages et des villes. L’autre quai, celui du gouvernement, était dédié aux services publics : transport des marchandises, ainsi que l’accueil des visiteurs, touristes et résidents se rendant en ville. Très apprécié des fermiers, il leur permettait de vendre leurs produits au marché public de Québec. Des navires comme « L’Étoile » pour Québec et « Le Sainte-Thérèse » pour Montréal fréquentaient régulièrement le quai. Le dernier à y accoster fut le « M.S. Jacques Cartier », un bateau touristique qui offrait des visites sur le fleuve. Mais, à la fin des années 80, l’ensablement de la rivière mit fin à cette belle époque.
Source : Jean Beaudet
Une présence acadienne à Leclercville
Lors de la déportation des Acadiens en 1755, l’administration coloniale française fit transporter 1 500 familles à Québec. Suite à une épidémie, plusieurs furent ensuite dispersées dans les paroisses le long du Fleuve, dont sept familles sur le territoire de l’actuelle municipalité de Leclercville. Certaines d’entre elles s’installèrent dans le rang Saint-Michel, croisant la route 132 à l’ouest du village, un lieu aujourd’hui renommé la Route des Acadiens en leur mémoire.
Source : CRÉGHEUR, Claude, ST-JEAN, Mélanie et LAHOUD, Pierre. Curiosités en Lotbinière, Éditions GID, 2020, 224 P.
L’ancien moulin de Leclercville
En 1832, le seigneur de Lotbinière fait ériger un imposant moulin à scie à l’embouchure de la rivière Du Chêne, à Leclercville. Stratégiquement situé près du Fleuve pour l’exportation des planches et madriers, et sur le tracé de la rivière pour le transport des billots, ce moulin crée une centaine d’emplois dans le village. Les ouvriers, employés sur place, résident dans de petites maisons construites par le seigneur le long de la rue Saint-Alexis.
Source : CRÉGHEUR, Claude, ST-JEAN, Mélanie et LAHOUD, Pierre. Curiosités en Lotbinière, Éditions GID, 2020, 224 P.
Ligne hydroélectrique
À la fin des années 1980, des citoyens exercent des pressions sur Hydro-Québec pour revoir son projet d’implantation d’une ligne hydroélectrique traversant le Fleuve entre Grondines et Lotbinière. Face à l’opposition populaire, la Société d’État décide, au début des années 1990, d’enfouir la ligne sous le fleuve. Ce tunnel, long de 4 km, devient la principale ligne d’exportation d’Hydro-Québec, permettant de transporter l’électricité depuis Radisson jusqu’à la région de Boston, aux États-Unis.
Source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1063102/tunnel-hydro-quebec-grondines-lotbiniere
Les ponts
À proximité se trouve l’embouchure de la « grande rivière du Chêne », qui se jette dans le Saint-Laurent. Le pont qui la traverse est le fruit d’une longue évolution, celle de quatre générations. La première, un pont sur chevalet, était démonté chaque année pour éviter qu’il ne soit emporté par la débâcle printanière. En 1848, la deuxième génération, un « pont de bois », reposait sur des caissons de pierre et était équipé de planches d’acier au nez pointu pour couper les glaces. La troisième génération, le « pont Francoeur », inauguré en 1922, était un pont de fer monté sur des piliers en béton en forme de nez de bateau, renforcés de plaques d’acier tranchantes. Enfin, la quatrième génération, celle que vous admirez aujourd’hui, a été construite en 1971.
Source : Jean Beaudet
Patrimonial
Les briqueteries
Communément appelées les « briquailles », ces fabriques étaient situées au pied de la falaise, côté Est, et comptaient trois installations. Employant une cinquantaine de personnes durant la saison estivale, elles pouvaient produire plus d’un million de briques de construction chaque année. Ces briques étaient ensuite chargées sur des charlands et expédiées vers les quais de Montréal, Québec, Lévis, et d’autres destinations. En 1880, une grande quantité fut livrée à Lévis pour la construction du fort N1. Cette industrie prospère utilisa la glaise extraite de la falaise pour fabriquer des briques entre 1857 et 1917, jusqu’à ce qu’un glissement de terrain emporte en partie les installations.
Source : Jean Beaudet
Pêche
Foi de pêcheur, l’embouchure d’un cours d’eau est un lieu privilégié pour la pêche. Des sites archéologiques autochtones, découverts sur les rives de la rivière du Chêne, attestent que cet adage était déjà connu il y a des centaines d’années. À une époque où l’accès aux lacs et rivières était limité, l’embouchure de la grande rivière du Chêne était un lieu de prédilection pour les pêcheurs du week-end. Les samedis et dimanches, des dizaines de voitures encombraient la vieille route numéro 3 (aujourd’hui la route 132) des deux côtés de la rivière. On y capturait principalement achigans, brochets et dorés, mais aussi perchaudes, barbus, barbottes et meuniers. La pêche de nuit à l’anguille, à la lumière d’un feu, était aussi courante. La pêche aux petits poissons des chenaux, en hiver, était très populaire à Leclercville, où plus de 50 cabanes s’installaient sur le fleuve autour de Noël. On pouvait facilement capturer entre 100 et 500 poissons lors de la marée montante. La période idéale de la saison se situait à la fin de décembre et au début de janvier, lorsque les poissons étaient les plus abondants, avant la fraie, et que leurs œufs offraient un mets prisé.
Source : Jean Beaudet
La navigation
Leclercville est reconnu comme un village de navigateurs, où la navigation était le principal moyen de transport pour les déplacements, les visites familiales et le commerce. Le village possédait non pas un, mais deux quais. Le quai du Seigneur Joly servait au transport du bois de sciage, chargé sur des charlands tirés par des remorqueurs et livré aux quais des villages et des villes. L’autre quai, celui du gouvernement, était dédié aux services publics : transport des marchandises, ainsi que l’accueil des visiteurs, touristes et résidents se rendant en ville. Très apprécié des fermiers, il leur permettait de vendre leurs produits au marché public de Québec. Des navires comme « L’Étoile » pour Québec et « Le Sainte-Thérèse » pour Montréal fréquentaient régulièrement le quai. Le dernier à y accoster fut le « M.S. Jacques Cartier », un bateau touristique qui offrait des visites sur le fleuve. Mais, à la fin des années 80, l’ensablement de la rivière mit fin à cette belle époque.
Source : Jean Beaudet
Une présence acadienne à Leclercville
Lors de la déportation des Acadiens en 1755, l’administration coloniale française fit transporter 1 500 familles à Québec. Suite à une épidémie, plusieurs furent ensuite dispersées dans les paroisses le long du Fleuve, dont sept familles sur le territoire de l’actuelle municipalité de Leclercville. Certaines d’entre elles s’installèrent dans le rang Saint-Michel, croisant la route 132 à l’ouest du village, un lieu aujourd’hui renommé la Route des Acadiens en leur mémoire.
Source : CRÉGHEUR, Claude, ST-JEAN, Mélanie et LAHOUD, Pierre. Curiosités en Lotbinière, Éditions GID, 2020, 224 P.
L’ancien moulin de Leclercville
En 1832, le seigneur de Lotbinière fait ériger un imposant moulin à scie à l’embouchure de la rivière Du Chêne, à Leclercville. Stratégiquement situé près du Fleuve pour l’exportation des planches et madriers, et sur le tracé de la rivière pour le transport des billots, ce moulin crée une centaine d’emplois dans le village. Les ouvriers, employés sur place, résident dans de petites maisons construites par le seigneur le long de la rue Saint-Alexis.
Source : CRÉGHEUR, Claude, ST-JEAN, Mélanie et LAHOUD, Pierre. Curiosités en Lotbinière, Éditions GID, 2020, 224 P.
Ligne hydroélectrique
À la fin des années 1980, des citoyens exercent des pressions sur Hydro-Québec pour revoir son projet d’implantation d’une ligne hydroélectrique traversant le Fleuve entre Grondines et Lotbinière. Face à l’opposition populaire, la Société d’État décide, au début des années 1990, d’enfouir la ligne sous le fleuve. Ce tunnel, long de 4 km, devient la principale ligne d’exportation d’Hydro-Québec, permettant de transporter l’électricité depuis Radisson jusqu’à la région de Boston, aux États-Unis.
Source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1063102/tunnel-hydro-quebec-grondines-lotbiniere
Les ponts
À proximité se trouve l’embouchure de la « grande rivière du Chêne », qui se jette dans le Saint-Laurent. Le pont qui la traverse est le fruit d’une longue évolution, celle de quatre générations. La première, un pont sur chevalet, était démonté chaque année pour éviter qu’il ne soit emporté par la débâcle printanière. En 1848, la deuxième génération, un « pont de bois », reposait sur des caissons de pierre et était équipé de planches d’acier au nez pointu pour couper les glaces. La troisième génération, le « pont Francoeur », inauguré en 1922, était un pont de fer monté sur des piliers en béton en forme de nez de bateau, renforcés de plaques d’acier tranchantes. Enfin, la quatrième génération, celle que vous admirez aujourd’hui, a été construite en 1971.
Source : Jean Beaudet
Service de location
Ce parcours de La route bleue ne comprend pas de location d’embarcation sur place. Les renseignements sont mis à jour régulièrement pour vous offrir une fiabilité maximale.
Explorez La route bleue en toute confiance, sachant que vous disposez des données les plus récentes.
Service de location
Ce parcours de La route bleue ne comprend pas de location d’embarcation sur place. Les renseignements sont mis à jour régulièrement pour vous offrir une fiabilité maximale.
Explorez La route bleue en toute confiance, sachant que vous disposez des données les plus récentes.
Service de navettes
Ce parcours de La route bleue ne comprend pas de service de navettes. Vous devez organiser la logistique de transport.
Les renseignements sont mis à jour régulièrement pour vous offrir une fiabilité maximale. Explorez La route bleue en toute confiance, sachant que vous disposez des données les plus récentes.
Service de navettes
Ce parcours de La route bleue ne comprend pas de service de navettes. Vous devez organiser la logistique de transport.
Les renseignements sont mis à jour régulièrement pour vous offrir une fiabilité maximale. Explorez La route bleue en toute confiance, sachant que vous disposez des données les plus récentes.
Sortie guidée
Ce parcours de La route bleue ne comprend pas de sortie guidée pour le moment.
Les renseignements sont mis à jour régulièrement pour vous offrir une fiabilité maximale. Explorez La route bleue en toute confiance, sachant que vous disposez des données les plus récentes.
Sortie guidée
Ce parcours de La route bleue ne comprend pas de sortie guidée pour le moment.
Les renseignements sont mis à jour régulièrement pour vous offrir une fiabilité maximale. Explorez La route bleue en toute confiance, sachant que vous disposez des données les plus récentes.
Attraits touristiques
Pour découvrir les activités de la région, visitez le site de l’association touristique de la région de Chaudière Appalaches.
Attraits touristiques
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